Le militaire et La femme
Ils ont violé ton corps
Ils ont violé ton corps
Ils ont violé ton âme.
Le jour d’une mise a mort
D’un jeu qui fait très mal
Et tu n’as rien pu faire
Devant cette chasse a courre
Face à ces militaires
Qui te volaient l’amour
Alors je dis, messieurs
Ok, Vous faites la guerre
Mais soyez généreux
Ils ont violé ton âme.
Le jour d’une mise a mort
D’un jeu qui fait très mal
Et tu n’as rien pu faire
Devant cette chasse a courre
Face à ces militaires
Qui te volaient l’amour
Alors je dis, messieurs
Ok, Vous faites la guerre
Mais soyez généreux
En pensant à nos mères
Et ne profiter pas,
Du fait d’avoir des armes
Pour franchir le pas
De violenter la femme
Soyez des militaires
Si cela vous fait plaisir
Allez gagner vos guerres
Et construire vos empires
Mais ne touchez plus aux femmes
De tous nos continents
Elles ne sont pas les flammes
Du pouvoir de l’argent,
Parce que toutes vos guerres
Sont des histoires de mec
Soyez guerriers, et fier
Mais toujours correctes
Alors si vous gagnez
Vous serez des héros
Dans l’histoires des années
Mais jamais des salauds
Je lance ce message
Aux guerriers de demain
Pour tout ces carnages
Se termine enfin
Et je dis aux plus grands
De ne jamais oublier
Que vous étiez enfants
Avant d’être guerriers
Et que pour être enfants
Il a fallu la femme
Et qu’il n’y a pas de gent
Qui sont nés sans ces dames
Alors faites vos guerres
Mais ne touchez plus jamais
Aux femmes.
Pensez qu’elles sont nos mères
A jamais dans vos âmes.
Et ne profiter pas,
Du fait d’avoir des armes
Pour franchir le pas
De violenter la femme
Soyez des militaires
Si cela vous fait plaisir
Allez gagner vos guerres
Et construire vos empires
Mais ne touchez plus aux femmes
De tous nos continents
Elles ne sont pas les flammes
Du pouvoir de l’argent,
Parce que toutes vos guerres
Sont des histoires de mec
Soyez guerriers, et fier
Mais toujours correctes
Alors si vous gagnez
Vous serez des héros
Dans l’histoires des années
Mais jamais des salauds
Je lance ce message
Aux guerriers de demain
Pour tout ces carnages
Se termine enfin
Et je dis aux plus grands
De ne jamais oublier
Que vous étiez enfants
Avant d’être guerriers
Et que pour être enfants
Il a fallu la femme
Et qu’il n’y a pas de gent
Qui sont nés sans ces dames
Alors faites vos guerres
Mais ne touchez plus jamais
Aux femmes.
Pensez qu’elles sont nos mères
A jamais dans vos âmes.